lundi 7 avril 2008

Conclusion solidarité

On ne choisit ni le moment ni le lieu de sa naissance. On ne choisit pas non plus le milieu social dans lequel on va grandir. C’est un des grands hasards de la vie. Cette constatation est simple, évidente, terriblement banale
Certes les inégalités ont toujours existé entre les hommes, mais ont tendance à s’accroître depuis deux siècles, et ce malgré les progrès, le développement et l’enrichissement global du monde.

- Grâce à leur niveau de développement, les pays riches ont des privilèges :paix, liberté et démocratie, santé, niveau de vie élevé…
- Dans les pays sous développés, tout est lié : les maladies, les guerres, la faim et le manque d’éducation…et c’est certainement dans ce domaine que les besoins sont les plus vitaux.
Nombre de spécialistes affirment que, si rien n’est fait aujourd’hui pour combler le fossé qui se creuse entre pays riches et pays pauvres, le monde court à la catastrophe.
Le danger vient de la pauvreté, du sous développement et des inégalités dans le monde. Certes les pays riches aident financièrement les pays les plus défavorisés, mais ce soutien reste très limité.

Aider, ce n’est pas seulement donner, c’est aussi comprendre, échanger et, pourquoi pas, coopérer. Il importe donc de bien réfléchir avant, de savoir exactement pourquoi, quand et comment l’aide va être organisée et de connaître exactement les besoins des gens sur place.
Certes, au Lycée français de Bilbao, nous avons été capables de nous mobiliser, tant sur l’aide humanitaire d’urgence (Course contre la faim, collectes diverses en faveur des plus démunis ici, dans notre propre ville) que sur le plan du développement en matière d’éducation.
Agir en groupe, c’est plus facile et surtout plus visible, mais n’oublions pas que dans le monde, des milliers de gens ont besoin de solidarité, et que chacun à son niveau peut s’engager.
Le pire des ennemis, c’est l’indifférence envers ceux qui nous entourent, que ce soit à la maison, dans la rue où à l’école.
La solidarité réside dans la capacité à ne pas être indifférent, à s’engager, même dans les plus petites choses du quotidien.
Elle peut et doit commencer par là : un simple sourire aux « sans domicile fixe », une main tendue à un camarade de classe délaissé par les autres, autant de petits gestes qui feront que lorsque nous parlerons de solidarité, que nous chercherons à convaincre les autres, nos phrases et nos actions seront crédibles.
Mikel Garcia et Amaia Urgoiti .

1 commentaire:

maeckyath a dit…

bonjour Mr c'est pour vous dire que je vouler mettre une video pour le blogger et apres mon ordinateur a beuggué je c'est pas pourquoi pouvez vouz m'expliquer merci