La tolérance signifie la façon supporter un objet ou une personne.
C’est la capacité qu’a une personne à supporter des choses ou des idées qui ne sont pas d’accord avec sa façon de voir cet aspect.
Par conséquent, la tolérance sociale est l’attitude des personnes d’un groupe social, face à une personne ou un groupe de personnes d’une autre classe.
Par exemple, si un nouvel élève arrive au Lycée, il faut accepter ses différences et ne pas le laisser seul sans bien le connaître. Pas seulement au Lycée, il faut être tolérant avec les SDF et éventuellement être solidaire avec ceux-ci.La tolérance ne doit pas seulement être effective dans notre pays mais aussi dans les pays moins favorisés. Pour tolérer, il faut essayer de comprendre la situation et les pensées des autres personnes et se mettre à leur place. Il n’est pas facile mais il faut penser que nous sommes tous humains et qu’en faisant ceci, il va y avoir des personnes qui vont se sentir beaucoup mieux. La tolérance ne se limite pas au respect mais aussi à l’aide. On ne peut pas être solidaire si on n’est pas tolérant avec les autres.
Alex et Mikel
vendredi 21 décembre 2007
mardi 18 décembre 2007
Quelques éléments pour écrire un article
LA COURSE CONTRE LA FAIM constitue un projet éducatif et pédagogique.
- Informer et sensibiliser les élèves
Action contre la Faim se rend dans toutes les classes participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM pour expliquer aux élèves les causes de ce fléau et susciter une vraie prise de conscience par rapport à ce problème. Des séances d'information et de sensibilisation ont lieu dans les établissements participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM. A l’aide d’une vidéo tournée sur l’une de nos missions et de matériel pédagogique, des bénévoles, volontaires ou salariés d’Action contre la Faim présenteront aux jeunes les moyens concrets mis en place par l’association pour lutter contre le fléau de la faim.
- Mobiliser les élèves à travers un principe simple
Lors des séances de sensibilisation, les élèves prennent conscience qu’ils peuvent agir pour sauver des vies, en participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM. Le principe est simple : chaque élève participant se fait sponsoriser chaque kilomètre qu’il parcourt par des membres de son entourage (parents, amis, voisins, commerçants…) qui décident eux-mêmes de la somme attribuée par kilomètre (1, 2, 3… euros). Le jour de la course, l’élève fait de son mieux ! La distance maximale qu’il peut parcourir est de 10 kilomètres.
- Prouver aux jeunes qu’ensemble, ils peuvent faire beaucoup
En 2007, les élèves ont parcouru plus de 825 000 kilomètres et LA COURSE CONTRE LA FAIM a permis de collecter près de 2 millions euros. Les dons recueillis sont reversés à Action contre la Faim pour soutenir ses programmes dans le monde entier. Ils constituent les fonds propres de l’association. Ces fonds permettent à nos équipes de développer des programmes dans des pays qui, s’ils ne font plus l’actualité ou s’ils n’attirent pas l’attention des bailleurs de fonds institutionnels, ont plus que jamais besoin d’aide. Cette année, une partie des dons récoltés seront affectés aux programmes du Burundi et de la Mongolie.
Quelques vidéos Youtube a voir
Capi
- Informer et sensibiliser les élèves
Action contre la Faim se rend dans toutes les classes participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM pour expliquer aux élèves les causes de ce fléau et susciter une vraie prise de conscience par rapport à ce problème. Des séances d'information et de sensibilisation ont lieu dans les établissements participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM. A l’aide d’une vidéo tournée sur l’une de nos missions et de matériel pédagogique, des bénévoles, volontaires ou salariés d’Action contre la Faim présenteront aux jeunes les moyens concrets mis en place par l’association pour lutter contre le fléau de la faim.
- Mobiliser les élèves à travers un principe simple
Lors des séances de sensibilisation, les élèves prennent conscience qu’ils peuvent agir pour sauver des vies, en participant à LA COURSE CONTRE LA FAIM. Le principe est simple : chaque élève participant se fait sponsoriser chaque kilomètre qu’il parcourt par des membres de son entourage (parents, amis, voisins, commerçants…) qui décident eux-mêmes de la somme attribuée par kilomètre (1, 2, 3… euros). Le jour de la course, l’élève fait de son mieux ! La distance maximale qu’il peut parcourir est de 10 kilomètres.
- Prouver aux jeunes qu’ensemble, ils peuvent faire beaucoup
En 2007, les élèves ont parcouru plus de 825 000 kilomètres et LA COURSE CONTRE LA FAIM a permis de collecter près de 2 millions euros. Les dons recueillis sont reversés à Action contre la Faim pour soutenir ses programmes dans le monde entier. Ils constituent les fonds propres de l’association. Ces fonds permettent à nos équipes de développer des programmes dans des pays qui, s’ils ne font plus l’actualité ou s’ils n’attirent pas l’attention des bailleurs de fonds institutionnels, ont plus que jamais besoin d’aide. Cette année, une partie des dons récoltés seront affectés aux programmes du Burundi et de la Mongolie.
Quelques vidéos Youtube a voir
Capi
dimanche 16 décembre 2007
Quelques reflexions pour écrire un article sur éducation pour tous
L'éducation dans le monde, une situation d'urgence;
Que ces quelques lignes nous fassent réfléchir et nous fassent comprendre l’importance et l’urgence d’agir sans plus attendre.
Tous nos efforts sont nécessaires et même si nos actions semblent représenter “une goutte d’eau”, rappelons nous que des millions de gouttes d’eau forment les rivières qui forment les océans.
Selon un rapport de l’Unesco (2007)
· Dans le monde, 80 millions d'enfants en âge d'aller à l'école primaire en sont exclus
· Parmi les enfants qui sont à l'école, plusieurs ne complèteront peut-être jamais leur éducation primaire ou la finiront sans même acquérir les compétences de base
· 781 millions d'adultes sont dépourvus de compétences minimales en matière d'alphabétisme : 18% d'analphabètes dans le monde
· Les femmes constituent 2/3 des adultes ne sachant ni lire ni écrire (63% en 1990)
· 218 millions. C'est le nombre d'enfants dont le travail est à abolir, ce qui représente 13.9% des enfants de 5 à 17 ans dans le monde (dernières études de l'Organisation Internationale du Travail).
Selon Pierre Véronneau directeur général Oxfam-Québec.
« C’est tout ce qu’il y a de plus simple: les élèves ont besoin d’enseignants et les enseignants d’un salaire. Tant que les pays riches n’auront pas consenti d’aide à long terme pour l’éducation, les pays pauvres manqueront d’enseignants qualifiés. Jamais le cycle de la pauvreté ne sera brisé sans éducation, jamais il n’y aura d’éducation sans enseignants »,
Quelques constatations:
· Globalement, c’est dans les pays où il y a le plus de pauvreté que les taux d’analphabétisme sont les plus élevés, corrélation observée jusqu’au niveau des ménages
· Dans de nombreux pays africains, de 25 à 40 % des enseignants disent ne pas disposer de manuel ou de livre du maître dans les matières qu’ils enseignent.
· Les enfants appartenant à des groupes autochtones et à des minorités ethniques ont moins de chances que les autres d’être scolarisés à l’école primaire.
Souvent, les personnes qui éprouvent des difficultés à lire et à écrire sont peu scolarisées, ont des revenus peu élevés, sont souvent issues de familles pauvres et font face à d'autres problèmes. Leurs besoins ne se limitent donc pas seulement à plus apprendre à lire, à écrire et à compter; elles doivent outil s'outiller pour affronter la vie quotidienne. Et certains disent qu'ils ont connu un cercle vicieux qui va de leurs parents à leurs enfant
Capi
Que ces quelques lignes nous fassent réfléchir et nous fassent comprendre l’importance et l’urgence d’agir sans plus attendre.
Tous nos efforts sont nécessaires et même si nos actions semblent représenter “une goutte d’eau”, rappelons nous que des millions de gouttes d’eau forment les rivières qui forment les océans.
Selon un rapport de l’Unesco (2007)
· Dans le monde, 80 millions d'enfants en âge d'aller à l'école primaire en sont exclus
· Parmi les enfants qui sont à l'école, plusieurs ne complèteront peut-être jamais leur éducation primaire ou la finiront sans même acquérir les compétences de base
· 781 millions d'adultes sont dépourvus de compétences minimales en matière d'alphabétisme : 18% d'analphabètes dans le monde
· Les femmes constituent 2/3 des adultes ne sachant ni lire ni écrire (63% en 1990)
· 218 millions. C'est le nombre d'enfants dont le travail est à abolir, ce qui représente 13.9% des enfants de 5 à 17 ans dans le monde (dernières études de l'Organisation Internationale du Travail).
Selon Pierre Véronneau directeur général Oxfam-Québec.
« C’est tout ce qu’il y a de plus simple: les élèves ont besoin d’enseignants et les enseignants d’un salaire. Tant que les pays riches n’auront pas consenti d’aide à long terme pour l’éducation, les pays pauvres manqueront d’enseignants qualifiés. Jamais le cycle de la pauvreté ne sera brisé sans éducation, jamais il n’y aura d’éducation sans enseignants »,
Quelques constatations:
· Globalement, c’est dans les pays où il y a le plus de pauvreté que les taux d’analphabétisme sont les plus élevés, corrélation observée jusqu’au niveau des ménages
· Dans de nombreux pays africains, de 25 à 40 % des enseignants disent ne pas disposer de manuel ou de livre du maître dans les matières qu’ils enseignent.
· Les enfants appartenant à des groupes autochtones et à des minorités ethniques ont moins de chances que les autres d’être scolarisés à l’école primaire.
Souvent, les personnes qui éprouvent des difficultés à lire et à écrire sont peu scolarisées, ont des revenus peu élevés, sont souvent issues de familles pauvres et font face à d'autres problèmes. Leurs besoins ne se limitent donc pas seulement à plus apprendre à lire, à écrire et à compter; elles doivent outil s'outiller pour affronter la vie quotidienne. Et certains disent qu'ils ont connu un cercle vicieux qui va de leurs parents à leurs enfant
Capi
samedi 8 décembre 2007
La faim dans le monde
Aujourd’hui 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde, 2milliards souffrent de carences alimentaires, prés de 3 milliards vivent avec 1 euro par jour.
On a du mal à imaginer les conséquences à l’horizon 2050, lorsque la population mondiale atteindra les 9 milliards d’individus
Quatre multinationales se partagent 90% du commerce mondial de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences. et combattre la faim ne fait pas réellement partie de leurs objectifs
Pendant ce temps les pays de l’OCDE (les nations les plus riches) consacrent chaque année 350 milliards d'euros aux subventions agricoles qui déséquilibrent le marché mondial Dans le même temps, ils versent 8 petits milliards d'euros pour soutenir l'agriculture des pays en développement.
Quelles sont les solutions?·
-Améliorer encore les rendements en utilisant plus de produits chimiques,,,mais nous sommes déjà à saturation.
-Réduire notre consommation de viande (10kilos de fourrage sont nécessaires à la production d’un kilo de viande). Ce serait une solution, mais la Banque Mondiale prévoit au contraire que la consommation mondiale de viande va augmenter de 50 % d’ici 2020..
-Raser les forêts tropicales...c’est déjà en cours pour la plantation de céréales à usage industriel (pour fabriquer 50 litres d’agro-diesel il faut brûler 232 kg de maïs et avec ça, un enfant zambien ou mexicain vit une année).
On le voit les solutions proposées aujourd’hui ne sont pas prêtes à résoudre le problème, au contraire….et nous passons ici sous silence les énormes risques environnementaux.
Que pouvons nous faire ?
Ce n’est pas seulement ce que nous produisons qui va déterminer l’avenir de l’agriculture mais aussi ce que nous consommons.
C'est notre comportement de consommateur qui contribue à orienter l'évolution de notre société. car nos achats sont à l'origine des modes de production
-Peut-on se lamenter de la faim dans le monde mais ne pas utiliser notre pouvoir de consommateur pour combattre les injustices sociales?
-Peut-on dénoncer les émissions sans cesse croissantes de CO2, ? mais ne pas prendre en compte l'empreinte écologique des produits de notre assiette?
Modifier nos comportements de consommateurs demandera son temps, mais nous y parviendrons, nous serons obligés d’y parvenir.
En attendant, combattre la faim dans le monde n’est certes pas à notre portée, mais devons nous pour autant rester les bras croisés devant les 24.000 morts par jour.
Dans de nombreux pays il y a urgence (38 des 53 pays africains doivent importer de la nourriture pour combler leur déficit alimentaire structurel. et devant la flambée des prix ils ne pourront plus acheter le nécessaire)
Nous, élèves du Lycée français de Bilbao avons décidé de nous mobiliser et agir par la participation à la course contre la faim dont la 12eme édition se déroulera le 16 mai 2008.
Déjà l’an passé nous avons participé à cette course, ce qui nous a permis de collecter 9000euros qui ont été envoyés au Burundi.
Cette année nous avons décidé d’atteindre la barre des 15.000euros et nous devons nous en donner les moyens.
Parmi les idées à développer :
Participation plus massive
Faire participer d’autres établissements (partenaires Eco parlement des jeunes par exemple)
Transformer cette course en véritable fête
Eviter les gaspillages et placer cette journée sous le signe du développement durable.
Mais avant tout, pour mieux comprendre ce grave problème et être capable de le raconter aux autres, donc les motiver à participer avec nous ou nous aider financièrement, il semble important et indispensable de monter un dossier de sensibilisation.
Vaste programma donc et le temps presse comme toujours
Très rapidement, une réunion doit avoir lieu entre la direction de notre établissement et les professeurs principaux. Au cours de cette réunion je vais proposer la création d’une commission d’élèves, car je considère que cela doit se transformer en une “action Jeunes” pour laquelle vous pouvez compter sur notre aide et notre appui.
Toutes vos idées sont donc les bienvenues et ce blog doit servir à cela.
Capi
On a du mal à imaginer les conséquences à l’horizon 2050, lorsque la population mondiale atteindra les 9 milliards d’individus
Quatre multinationales se partagent 90% du commerce mondial de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences. et combattre la faim ne fait pas réellement partie de leurs objectifs
Pendant ce temps les pays de l’OCDE (les nations les plus riches) consacrent chaque année 350 milliards d'euros aux subventions agricoles qui déséquilibrent le marché mondial Dans le même temps, ils versent 8 petits milliards d'euros pour soutenir l'agriculture des pays en développement.
Quelles sont les solutions?·
-Améliorer encore les rendements en utilisant plus de produits chimiques,,,mais nous sommes déjà à saturation.
-Réduire notre consommation de viande (10kilos de fourrage sont nécessaires à la production d’un kilo de viande). Ce serait une solution, mais la Banque Mondiale prévoit au contraire que la consommation mondiale de viande va augmenter de 50 % d’ici 2020..
-Raser les forêts tropicales...c’est déjà en cours pour la plantation de céréales à usage industriel (pour fabriquer 50 litres d’agro-diesel il faut brûler 232 kg de maïs et avec ça, un enfant zambien ou mexicain vit une année).
On le voit les solutions proposées aujourd’hui ne sont pas prêtes à résoudre le problème, au contraire….et nous passons ici sous silence les énormes risques environnementaux.
Que pouvons nous faire ?
Ce n’est pas seulement ce que nous produisons qui va déterminer l’avenir de l’agriculture mais aussi ce que nous consommons.
C'est notre comportement de consommateur qui contribue à orienter l'évolution de notre société. car nos achats sont à l'origine des modes de production
-Peut-on se lamenter de la faim dans le monde mais ne pas utiliser notre pouvoir de consommateur pour combattre les injustices sociales?
-Peut-on dénoncer les émissions sans cesse croissantes de CO2, ? mais ne pas prendre en compte l'empreinte écologique des produits de notre assiette?
Modifier nos comportements de consommateurs demandera son temps, mais nous y parviendrons, nous serons obligés d’y parvenir.
En attendant, combattre la faim dans le monde n’est certes pas à notre portée, mais devons nous pour autant rester les bras croisés devant les 24.000 morts par jour.
Dans de nombreux pays il y a urgence (38 des 53 pays africains doivent importer de la nourriture pour combler leur déficit alimentaire structurel. et devant la flambée des prix ils ne pourront plus acheter le nécessaire)
Nous, élèves du Lycée français de Bilbao avons décidé de nous mobiliser et agir par la participation à la course contre la faim dont la 12eme édition se déroulera le 16 mai 2008.
Déjà l’an passé nous avons participé à cette course, ce qui nous a permis de collecter 9000euros qui ont été envoyés au Burundi.
Cette année nous avons décidé d’atteindre la barre des 15.000euros et nous devons nous en donner les moyens.
Parmi les idées à développer :
Participation plus massive
Faire participer d’autres établissements (partenaires Eco parlement des jeunes par exemple)
Transformer cette course en véritable fête
Eviter les gaspillages et placer cette journée sous le signe du développement durable.
Mais avant tout, pour mieux comprendre ce grave problème et être capable de le raconter aux autres, donc les motiver à participer avec nous ou nous aider financièrement, il semble important et indispensable de monter un dossier de sensibilisation.
Vaste programma donc et le temps presse comme toujours
Très rapidement, une réunion doit avoir lieu entre la direction de notre établissement et les professeurs principaux. Au cours de cette réunion je vais proposer la création d’une commission d’élèves, car je considère que cela doit se transformer en une “action Jeunes” pour laquelle vous pouvez compter sur notre aide et notre appui.
Toutes vos idées sont donc les bienvenues et ce blog doit servir à cela.
Capi
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