Nous connaissons tous les problèmes des pays du Sud, avec tous ces gens qui meurent de malnutrition, les enfants qui travaillent, les centaines d’illettrés… Cette liste est interminable.
Mais, sommes-nous réellement conscients des personnes qui souffrent dans les pays riches, à cause du froid et de la malnutrition? des personnes sans domicile, qui dorment dans la rue, qui n’ont pas de travail et qui mendient pour manger une fois par jour.
Ils représentent l’autre partie d’une société dite développée.
A Bilbao on dénombre 36.000 foyers et 90.000 personnes qui peuvent tout juste affronter les dépenses élémentaires de la vie au quotidien.
774 personnes vivent dans les rues (48% d’étrangers, la plupart sans papiers), les motifs les plus fréquents pour terminer dans la rue étant, le manque d’argent, le chômage prolongé, la mort d’un être cher et la maladie.
20% d’entre eux ont cependant fait des études supérieures, mais qui veut engager un S.D.F?
On s’efforce de les cacher, de les ignorer, mais ces gens existent et comme tout être humain ils ont le droit et le besoin d’être aidés économiquement et moralement.
En leur donnant de l’argent, on leur assure un repas, mais ils se sentent dépendants de notre charité. Il faut donc les aider de manière à ce qu’ils ne se sentent pas marginalisés et que cela leur donne envie de continuer à essayer d’avoir une vie digne.
Un mot, un regard, un sourire, c’est le moins que nous puissions faire.
Un montage PowerPoint qui nous parle des difficiles conditions de vie de tous ces clandestins
"Clandestino"
Laura Gardner, Amaia Urgoiti et Ines Uribe
Actions :
Comme chaque année notre lycée, sous la responsabilité de l’A.P.A, essaye d'améliorer la vie de moins favorisés de notre ville, Bilbao.
Différentes opérations sont mises en place et permettent de sensibiliser l’ensemble de notre communauté scolaire sur la nécessitée d’agir de manière solidaire.
Ces collectes sont destinées à des associations locales qui se chargent de distribuer les dons aux plus nécessiteux.
Bourses alimentaires : Durant 1 semaine, les élèves apportent des denrées non périssables qui sont entreposées au lycée avant d’être récupérées par « Caritas » qui les répartira dans les différentes cantines solidaires de notre ville. La dernière opération en date (Dec 2007 ) nous a permis de collecter 60 kg de nourriture. Une autre bourse alimentaire sera lancée lors de notre course pour la faim, au mois de mai.
Collecte de jouets : Comme chaque année nous recevons des montagnes de jouets qui bien souvent sont utilisés le jour de Noël puis soigneusement rangés au fond d’un placard, qui très rapidement s’encombre. Il est grand temps d’avoir une pensée pour ceux qui n’ont pas notre chance et se débarrasser intelligemment et solidairement de tous ces jouets que nous ne regardons même plus et qui feront très certainement le bonheur de quelque enfant que le Père Noël ne peut combler. Une opération jouets est donc reconduite annuellement, début décembre et le trésor ainsi récupéré est remis aux responsables de Caritas qui en font un bon usage.
Collecte de vêtements : Influencés par la mode et la publicité, de nos jours, nous achetons de plus en plus de vêtements, d’autant plus que l’importation massive de textiles en provenance des pays asiatiques les rend plus accessibles.
Il en découle des problèmes d’éthique (juste prix, travail clandestin et souvent main d’œuvre infantile), mais aussi de nombreux problèmes de gaspillage.
Au lycée, des élèves ont travaillé sur ce sujet, il y a 3 ans déjà, et leurs recherches ont abouti sur la découverte d’une entreprise associative dont le but social les a enthousiasmé (voir notre site Web) :
Depuis nous travaillons en étroite collaboration avec cette entreprise à laquelle nous fournissons les vêtements collectés, avec la certitude d’un emploi adéquat.
La dernière opération en date nous a permis de collecter 2 containers de vêtements et nous préparons une nouvelle opération qui viendra elle aussi compléter notre journée solidaire organisée autour de la course contre la faim dans le monde.
Ces vêtements sont triés, puis recyclés ou réutilisés, au Pérou, en Roumanie ou bien revendus dans des magasins d’occasion de Biscaye sous l’enseigne « Ekoropa ».
Vicky Goria, Monica Muro et Maria Ortega
mercredi 23 janvier 2008
jeudi 17 janvier 2008
Projet Education Materi.(Benin)
Sous l’égide du gouvernement de Cantabria, le Collège Français de Bilbao a contribué à diffèrents projets qui ont comme objectif commun d’aider au développement du Bénin. Le Bénin est un pays situé en Afrique, dans le golfe de guinée entre le Nigéria et le Togo. C’est un pays qui a toujours accordé une grande importance à l’éducation et c’est rare de trouver un village où il n’y est pas une école primaire. Ceci est important car l’un des plus gros problèmes des pays Africains est leur haut niveau d’analphabétisation. Pourtant, une éducation de qualité incite les enfants à rester à l'école et ils risquent moins d'être exploités ou victimes de violences. Donc, les actions qui permettent de dispenser aux enfants une éducation de qualité, ont des conséquences profondes et durables sur la société en général. Diférentes actions menés par le gouvernement de Cantabria avec une importante collaboration du Collège Français de Bilbao essaient de promouvoir ces concepts. Plus précisement le projet Matéri.
Une des actions menées dans le cadre de ce projet et qui a eu une plus grande réussite est l’opération “Education à pédales”. Elle a été menée à bout grâce à l’envoi de 715 bicyclettes qui ont été distribuées aux étudiants et aux professeurs de Matéri. Pour 200FCFA/mois (plus ou moins 30 centimes d'euro), les élèves de l'école secondaire pourront disposer de bicyclettes. Priorité sera donnée a ceux qui vivent le plus loin du centre. Toutes les pièces de rechange seront gratuites jusqu'à épuisement des stocks, mais si le vélo est détérioré suite à un mauvais usage, les frais de réparation seront à la charge de l'élève
Quand ils termineront leurs études secondaires, la bicyclette leur sera offerte. Par contre, l'abandon des études entraîne la perte de droit à la location. (Un redoublement ne fait pas perdre le droit au vélo.)
Cette action essaie de motiver les élèves à ne pas laisser leurs études de côtè et à se rendre tous les jours à l’école afin de finir leurs études et obtenir le vélo.
De même une autre action menée a été celle de la collecte de livres. Dans le collège ont a informé les élèves que tous ceux qui voudraient pourraient donner des livres qu’ils n’utilisent plus, afin de plus tard les récupérer tous et les envoyer au Bénin.
Il faut bien faire la diffèrence entre l’aide humanitaire et l’aide au développement. Cette dernière a pour objectif d’aider des pays moins développés afin qu’ils puissent se développer et un jour avoir les moyens de vivre par eux-mêmes sans avoir besoin de recevoir des aides. Une aide plus prononcée, type jumelage est à l’étude pour la rentrée prochaine.
Beatriz Marquez,Ines Renobales et Claudia del Campo
Une des actions menées dans le cadre de ce projet et qui a eu une plus grande réussite est l’opération “Education à pédales”. Elle a été menée à bout grâce à l’envoi de 715 bicyclettes qui ont été distribuées aux étudiants et aux professeurs de Matéri. Pour 200FCFA/mois (plus ou moins 30 centimes d'euro), les élèves de l'école secondaire pourront disposer de bicyclettes. Priorité sera donnée a ceux qui vivent le plus loin du centre. Toutes les pièces de rechange seront gratuites jusqu'à épuisement des stocks, mais si le vélo est détérioré suite à un mauvais usage, les frais de réparation seront à la charge de l'élève
Quand ils termineront leurs études secondaires, la bicyclette leur sera offerte. Par contre, l'abandon des études entraîne la perte de droit à la location. (Un redoublement ne fait pas perdre le droit au vélo.)
Cette action essaie de motiver les élèves à ne pas laisser leurs études de côtè et à se rendre tous les jours à l’école afin de finir leurs études et obtenir le vélo.
De même une autre action menée a été celle de la collecte de livres. Dans le collège ont a informé les élèves que tous ceux qui voudraient pourraient donner des livres qu’ils n’utilisent plus, afin de plus tard les récupérer tous et les envoyer au Bénin.
Il faut bien faire la diffèrence entre l’aide humanitaire et l’aide au développement. Cette dernière a pour objectif d’aider des pays moins développés afin qu’ils puissent se développer et un jour avoir les moyens de vivre par eux-mêmes sans avoir besoin de recevoir des aides. Une aide plus prononcée, type jumelage est à l’étude pour la rentrée prochaine.
Beatriz Marquez,Ines Renobales et Claudia del Campo
mardi 15 janvier 2008
Organisation course contre la faim
Action contre la Faim, crée en 1979, est une des principales ONG françaises. Elle est structurée en réseau international et Action contre la Faim est représentée à Paris, Londres, Madrid, Montréal et New York. Les équipes sur place combattent sur les 4 fronts de la faim : nutrition, sécurité alimentaire, santé et eau.
Action contre la Faim développe de nombreux programmes, intervient dans des situations d’urgence pour sauver des vies, puis aide les populations les plus démunies à retrouver leur autonomie alimentaire.
Action contre la Faim respecte depuis sa création le principe de transparence.
Action contre la faim organise chaque année une course solidaire pour aider ceux qui ont faim.
La Course contre la Faim est un projet pédagogique adressé essentiellement aux collégiens dont l’objectif premier est d’expliquer aux jeunes les causes de la faim dans le monde. Cette course solidaire permet aux élèves de récolter des fonds pour soutenir des programmes d'Action contre la Faim.
C’est un projet collectif où participent les élèves, les professeurs et les parents.
Ce projet les incite à sentir qu’ils peuvent jouer un rôle important, quels que soient leur âge, leurs origines ou leurs milieux sociaux.
C’est tout un établissement, ou toute une classe qui s’implique. La force vient du nombre des élèves. Il faut savoir que cette course n’est pas une compétition : chaque élève fait ce qu’il peut pour gagner une somme d’argent pour les pauvres
Le principe est simple : à l’issue des séances de sensibilisation, chaque élève part à la recherche de parrains pour se faire sponsoriser les kilomètres qu’il tentera de parcourir le jour.
La Course contre la Faim, c’est aussi une fête! En 2007, près de 2 millions d’euros ont été collectés pour les plus affamés et plus de 400 établissements se sont mobilisés aux côtés d’Action contre la Faim en 2007. Les dons iront surtout au Burundi
LA COURSE CONTRE LA FAIM constitue un projet pédagogique.
- Informer et sensibiliser les élèves
Les élèves sont informés par des collaborateurs d’aide et action et apprennent les difficultés que quelques personnes ont pour pouvoir manger. Ceci est fait à travers une vidéo que les responsables d´action contre la faim apportent. Ils savent donc qu´une personne ne va pas pouvoir éliminer la faim mais en groupe on peut éviter que quelques personnes en souffrent.
- Mobiliser les élèves à travers un principe simple .
Les élèves savent donc qu’ils peuvent faire quelque chose en groupe et le principe de cette course est simple. Chaque élève se fait sponsoriser chaque kilomètre avec un somme comprise entre 3 et 10 euros. Après chaque élève fait de son mieux pour parcourir le plus grande nombre de kilomètre.
- Prouver aux jeunes qu’ensemble, ils peuvent faire beaucoup .
En 2007, les élèves ont parcouru plus de 825 000 kilomètres et LA COURSE CONTRE LA FAIM a permis de collecter près de 2 millions euros. Les dons recueillis sont reversés à Action contre la Faim pour soutenir ses programmes dans le monde entier.
La Course contre la Faim sera organisée pour la 11ème année consécutive en mai 2008.
Notre lycée et la course.
L’année dernière notre lycée a décidé de participer à cette course contre la faim. Il y a eu 300 participants de notre lycée puis d’autres qui venait du collège allemand de Bilbao. On a collecté plus de 9000 euros qui ont été destinés au Burundi.
La course s’est déroulée un mercredi matin, et, vu le nombre des participants nous avons dû organiser 2 séries par tranches d’âge
L’A.P.A avait obtenu des sponsors des bourses de ravitaillement qui étaient distribuées aux élèves en fin de course, ce qui a provoqué beaucoup de gaspillage et des kilos de déchets. (un comble lorsqu’on pense au thème de la course) Il est évident que cette année il nous faudra éviter ce type d’erreur, à base de sensibilisation, et nous avons décidé de placer cette journée sous le signe de la solidarité bien sûr, mais aussi sous le signe du développement durable.
Nous sommes officiellement inscrits pour la 11eme édition, et même si la date exacte n’est pas encore définie (mai), nous savons déjà qu’elle rassemblera un nombre plus grand de participants.
Notre but, atteindre cette année la somme de 15.000 euros et des premiers contacts ont déjà été pris avec les 3 établissements du Pays-basque qui participent avec nous au projet « Ecoparlement des jeunes » pour qu’ils participent avec nous à cet élan de solidarité.
Nous avons créé une commission d’élèves pour définir avec nos professeurs et la direction du lycée, le déroulement de cette journée. Et nous demanderons :
-que cette course se déroule dans une ambiance de fête.
-que des stands soient montés par les élèves de 3eme, stands dans lesquels nous sensibiliseront tous les participants sur la faim dans le monde, sur le droit à l’éducation pour tous, sur l’aide aux plus défavorisés de notre ville, sur la tolérance et sur le développement durable en général.
-que nous puissions faire connaître notre engagement et partager avec un maximum de personnes nos soucis pour ce problème, pour la pauvreté en général, et pour les changements climatiques.
Quelques autres idées en vrac :
Organiser un concert de rock (élèves de terminale), contacter un groupe de musicien á la mode (nous pensons à Ken Zaspi),inviter nos parents à participer, inviter la presse pour faire connaître notre engagement, réaliser dans le cadre des arts plastiques des tee-shirts personnalisés…
Bref, à vous de nous aider dans cette grande aventure solidaire, en nous le faisant savoir par l’intermédiaire des commentaires à ce blog.
Lucia Guerra, Carlota Sanz, guillermo Arbulu et Guillermo Garcia. (élèves de 3A)
Action contre la Faim développe de nombreux programmes, intervient dans des situations d’urgence pour sauver des vies, puis aide les populations les plus démunies à retrouver leur autonomie alimentaire.
Action contre la Faim respecte depuis sa création le principe de transparence.
Action contre la faim organise chaque année une course solidaire pour aider ceux qui ont faim.
La Course contre la Faim est un projet pédagogique adressé essentiellement aux collégiens dont l’objectif premier est d’expliquer aux jeunes les causes de la faim dans le monde. Cette course solidaire permet aux élèves de récolter des fonds pour soutenir des programmes d'Action contre la Faim.
C’est un projet collectif où participent les élèves, les professeurs et les parents.
Ce projet les incite à sentir qu’ils peuvent jouer un rôle important, quels que soient leur âge, leurs origines ou leurs milieux sociaux.
C’est tout un établissement, ou toute une classe qui s’implique. La force vient du nombre des élèves. Il faut savoir que cette course n’est pas une compétition : chaque élève fait ce qu’il peut pour gagner une somme d’argent pour les pauvres
Le principe est simple : à l’issue des séances de sensibilisation, chaque élève part à la recherche de parrains pour se faire sponsoriser les kilomètres qu’il tentera de parcourir le jour.
La Course contre la Faim, c’est aussi une fête! En 2007, près de 2 millions d’euros ont été collectés pour les plus affamés et plus de 400 établissements se sont mobilisés aux côtés d’Action contre la Faim en 2007. Les dons iront surtout au Burundi
LA COURSE CONTRE LA FAIM constitue un projet pédagogique.
- Informer et sensibiliser les élèves
Les élèves sont informés par des collaborateurs d’aide et action et apprennent les difficultés que quelques personnes ont pour pouvoir manger. Ceci est fait à travers une vidéo que les responsables d´action contre la faim apportent. Ils savent donc qu´une personne ne va pas pouvoir éliminer la faim mais en groupe on peut éviter que quelques personnes en souffrent.
- Mobiliser les élèves à travers un principe simple .
Les élèves savent donc qu’ils peuvent faire quelque chose en groupe et le principe de cette course est simple. Chaque élève se fait sponsoriser chaque kilomètre avec un somme comprise entre 3 et 10 euros. Après chaque élève fait de son mieux pour parcourir le plus grande nombre de kilomètre.
- Prouver aux jeunes qu’ensemble, ils peuvent faire beaucoup .
En 2007, les élèves ont parcouru plus de 825 000 kilomètres et LA COURSE CONTRE LA FAIM a permis de collecter près de 2 millions euros. Les dons recueillis sont reversés à Action contre la Faim pour soutenir ses programmes dans le monde entier.
La Course contre la Faim sera organisée pour la 11ème année consécutive en mai 2008.
Notre lycée et la course.
L’année dernière notre lycée a décidé de participer à cette course contre la faim. Il y a eu 300 participants de notre lycée puis d’autres qui venait du collège allemand de Bilbao. On a collecté plus de 9000 euros qui ont été destinés au Burundi.
La course s’est déroulée un mercredi matin, et, vu le nombre des participants nous avons dû organiser 2 séries par tranches d’âge
L’A.P.A avait obtenu des sponsors des bourses de ravitaillement qui étaient distribuées aux élèves en fin de course, ce qui a provoqué beaucoup de gaspillage et des kilos de déchets. (un comble lorsqu’on pense au thème de la course) Il est évident que cette année il nous faudra éviter ce type d’erreur, à base de sensibilisation, et nous avons décidé de placer cette journée sous le signe de la solidarité bien sûr, mais aussi sous le signe du développement durable.
Nous sommes officiellement inscrits pour la 11eme édition, et même si la date exacte n’est pas encore définie (mai), nous savons déjà qu’elle rassemblera un nombre plus grand de participants.
Notre but, atteindre cette année la somme de 15.000 euros et des premiers contacts ont déjà été pris avec les 3 établissements du Pays-basque qui participent avec nous au projet « Ecoparlement des jeunes » pour qu’ils participent avec nous à cet élan de solidarité.
Nous avons créé une commission d’élèves pour définir avec nos professeurs et la direction du lycée, le déroulement de cette journée. Et nous demanderons :
-que cette course se déroule dans une ambiance de fête.
-que des stands soient montés par les élèves de 3eme, stands dans lesquels nous sensibiliseront tous les participants sur la faim dans le monde, sur le droit à l’éducation pour tous, sur l’aide aux plus défavorisés de notre ville, sur la tolérance et sur le développement durable en général.
-que nous puissions faire connaître notre engagement et partager avec un maximum de personnes nos soucis pour ce problème, pour la pauvreté en général, et pour les changements climatiques.
Quelques autres idées en vrac :
Organiser un concert de rock (élèves de terminale), contacter un groupe de musicien á la mode (nous pensons à Ken Zaspi),inviter nos parents à participer, inviter la presse pour faire connaître notre engagement, réaliser dans le cadre des arts plastiques des tee-shirts personnalisés…
Bref, à vous de nous aider dans cette grande aventure solidaire, en nous le faisant savoir par l’intermédiaire des commentaires à ce blog.
Lucia Guerra, Carlota Sanz, guillermo Arbulu et Guillermo Garcia. (élèves de 3A)
Parrainage de classes solidaires
Aide et Action est une association de développement par l'éducation et la 1ère association de parrainage en France.
Aide et Action agit pour un monde où la dignité est assurée pour toutes et tous, grâce à l'éducation, levier du développement humain.
Leur engagement et leurs actions sont fondés, avant tout, sur les valeurs de liberté, respect, solidarité, équité et intégrité.
Libres de toutes attaches politiques et religieuses, ils s’engagent à :
- AGIR pour le respect du droit à une éducation de qualité pour tous, particulièrement des enfants, avenir de l'humanité.
- SENSIBILISER, mobiliser et influer pour que l'éducation soit un engagement mondial.
- ACCOMPAGNER les populations, maîtres d’œuvre de leurs projets éducatifs.
- PROMOUVOIR une éducation ouverte sur le monde, sa diversité et ses cultures.
- DEVELOPPER le principe de solidarité et d'échange entre les cultures grâce au lien du parrainage.
- GARANTIR la transparence de leurs actions et de l'utilisation de nos ressources.
En plus de proposer des parrainages individuels, Aide et Action propose aux écoliers d’Europe de se mobiliser autour d’un projet qui contribuera à améliorer l’environnement scolaire des enfants au Togo, au Bénin ou au Sénégal.
A travers 3 correspondances, dans le cadre d'une année scolaire, ce parrainage de classes solidaires permet aux enfants d’ici (du primaire, du collège) et de là-bas, d’échanger et de « prendre conscience des autres et des différences ».
Grâce à ce parrainage de classes solidaires donc, nous avons eu la chance de maintenir des correspondances avec des enfants du Togo.
Cette année 2007 a été très enrichissante. Nous avons eu 3 correspondances avec des classes du Togo (Agaradé, Kolo et Efolo) avec un grand succès. Ils nous ont envoyé des photos et des dessins et surtout ils nous ont expliqué comment ils vivent, ce qui nous a permit de constater qu’ils n’ont rien ou pas grand chose.
Il est très important de comprendre comment ils vivent pour pouvoir ensuite les aider.
L’argent de notre parrainage (200euros) leur permet de mettre en place des projets. Un exemple de ces projets, l’opération huile de palme menée à bien par les élèves d’Agaradé (Togo).
Avec l’argent de notre parrainage, les élèves ont acheté des noix de palme pour la fabrication d’huile utilisée en cuisine et cosmétologie. Puis ils sont allés dans les marchés pour vendre cette huile et l’argent obtenu leur permet de subvenir aux besoins immédiats de leur classe.
Par de tels projets, les élèves apprennent aussi les différentes étapes qui pourront les aider plus tard à monter des projets personnels.
Leurs courriers nous ont renseignés sur leurs peu de moyens en matière de matériel scolaire, et nous avons donc acheté des dictionnaires, des règles, des compas, des cartes géographiques… afin de donner à leurs instituteurs les moyens de travailler plus efficacement.
Cette année le lycée parraine 3 autres classes : à Kpaporga (au Togo) et à Marsassoum et Boughary (au Sénégal)
.
Carolina Lopez et Marta Jainaga.
Mais comment finançons nous les parrainages de classes solidaires ?
Le lycée mène depuis quelques années plusieurs projets réalisés par des élèves de différents niveaux et par des professeurs. L’idée principale de ces projets : envoyer de l’argent aux classes parrainées au Sénégal et au Togo.
La Tombola:
Depuis l’année dernière, une tombola de Noël est organisée pour envoyer de l’argent à plusieurs pays sous-développés. Il s’agit d’une loterie où les gagnants reçoivent un lot en nature. Les billets sont vendus à un euro chacun et nous avons collecté 3643 €. Cette année plus de quatre cents lots dont deux vélos, une caméra photos, plusieurs sacs à dos…
Ce sont les élèves qui se chargent de récupérer les lots généreusement offerts par magasins et entreprises. Soulignons ici la générosité de Décathlon qui a offert les 2 vélos)..
Les Calendriers:
L’année dernière, des élèves de quatrième, avec l’aide de quelques professeurs, ont réalisé une maquette de calendrier solidaire sur le thème du développement durable.
Chaque mois, un thème (eau, terre, air, transports etc..) nous explique les problèmes dont souffre notre planète, nous informe sur les actions de notre lycée dans ce domaine et nous propose des solutions. En plus, ce calendrier comporte toutes les dates internationales de la planète comme la journée mondiale de l’eau.
La maquette a été envoyée à une imprimerie qui a tiré 1100 exemplaires qui seront vendus au prix de 5 euros et le bénéfice sera entièrement attribué à l’achat de matériel scolaire que nous enverrons aux classes parrainées.
June Ugarteburu et Marta Abeijon
Aide et Action agit pour un monde où la dignité est assurée pour toutes et tous, grâce à l'éducation, levier du développement humain.
Leur engagement et leurs actions sont fondés, avant tout, sur les valeurs de liberté, respect, solidarité, équité et intégrité.
Libres de toutes attaches politiques et religieuses, ils s’engagent à :
- AGIR pour le respect du droit à une éducation de qualité pour tous, particulièrement des enfants, avenir de l'humanité.
- SENSIBILISER, mobiliser et influer pour que l'éducation soit un engagement mondial.
- ACCOMPAGNER les populations, maîtres d’œuvre de leurs projets éducatifs.
- PROMOUVOIR une éducation ouverte sur le monde, sa diversité et ses cultures.
- DEVELOPPER le principe de solidarité et d'échange entre les cultures grâce au lien du parrainage.
- GARANTIR la transparence de leurs actions et de l'utilisation de nos ressources.
En plus de proposer des parrainages individuels, Aide et Action propose aux écoliers d’Europe de se mobiliser autour d’un projet qui contribuera à améliorer l’environnement scolaire des enfants au Togo, au Bénin ou au Sénégal.
A travers 3 correspondances, dans le cadre d'une année scolaire, ce parrainage de classes solidaires permet aux enfants d’ici (du primaire, du collège) et de là-bas, d’échanger et de « prendre conscience des autres et des différences ».
Grâce à ce parrainage de classes solidaires donc, nous avons eu la chance de maintenir des correspondances avec des enfants du Togo.
Cette année 2007 a été très enrichissante. Nous avons eu 3 correspondances avec des classes du Togo (Agaradé, Kolo et Efolo) avec un grand succès. Ils nous ont envoyé des photos et des dessins et surtout ils nous ont expliqué comment ils vivent, ce qui nous a permit de constater qu’ils n’ont rien ou pas grand chose.
Il est très important de comprendre comment ils vivent pour pouvoir ensuite les aider.
L’argent de notre parrainage (200euros) leur permet de mettre en place des projets. Un exemple de ces projets, l’opération huile de palme menée à bien par les élèves d’Agaradé (Togo).
Avec l’argent de notre parrainage, les élèves ont acheté des noix de palme pour la fabrication d’huile utilisée en cuisine et cosmétologie. Puis ils sont allés dans les marchés pour vendre cette huile et l’argent obtenu leur permet de subvenir aux besoins immédiats de leur classe.
Par de tels projets, les élèves apprennent aussi les différentes étapes qui pourront les aider plus tard à monter des projets personnels.
Leurs courriers nous ont renseignés sur leurs peu de moyens en matière de matériel scolaire, et nous avons donc acheté des dictionnaires, des règles, des compas, des cartes géographiques… afin de donner à leurs instituteurs les moyens de travailler plus efficacement.
Cette année le lycée parraine 3 autres classes : à Kpaporga (au Togo) et à Marsassoum et Boughary (au Sénégal)
.
Carolina Lopez et Marta Jainaga.
Mais comment finançons nous les parrainages de classes solidaires ?
Le lycée mène depuis quelques années plusieurs projets réalisés par des élèves de différents niveaux et par des professeurs. L’idée principale de ces projets : envoyer de l’argent aux classes parrainées au Sénégal et au Togo.
La Tombola:
Depuis l’année dernière, une tombola de Noël est organisée pour envoyer de l’argent à plusieurs pays sous-développés. Il s’agit d’une loterie où les gagnants reçoivent un lot en nature. Les billets sont vendus à un euro chacun et nous avons collecté 3643 €. Cette année plus de quatre cents lots dont deux vélos, une caméra photos, plusieurs sacs à dos…
Ce sont les élèves qui se chargent de récupérer les lots généreusement offerts par magasins et entreprises. Soulignons ici la générosité de Décathlon qui a offert les 2 vélos)..
Les Calendriers:
L’année dernière, des élèves de quatrième, avec l’aide de quelques professeurs, ont réalisé une maquette de calendrier solidaire sur le thème du développement durable.
Chaque mois, un thème (eau, terre, air, transports etc..) nous explique les problèmes dont souffre notre planète, nous informe sur les actions de notre lycée dans ce domaine et nous propose des solutions. En plus, ce calendrier comporte toutes les dates internationales de la planète comme la journée mondiale de l’eau.
La maquette a été envoyée à une imprimerie qui a tiré 1100 exemplaires qui seront vendus au prix de 5 euros et le bénéfice sera entièrement attribué à l’achat de matériel scolaire que nous enverrons aux classes parrainées.
June Ugarteburu et Marta Abeijon
Education pour tous.
Comment vivent les enfants dans le monde?As tu pensé que tu as beaucoup de chance d’aller à l’école et de vivre dans une maison avec de l’eau courante?
Il y a beaucoup d’enfants dans le monde qui ne peuvent pas dire la même chose La plupart doivent travailler, d’autres mènent une vie nomade ou vivent dans un pays en guerre. Mais tous on besoin d’amour et d’attention, tous on le droit à une éducation et une vie digne, comme la tienne.
Et pourtant:Il naît à travers le monde, en moyenne, 5 enfants par seconde. Mais selon les pays, ils ne reçoivent pas tous les mêmes soins et la même éducation.Ainsi, 12 millions d'enfants meurent chaque année avant l'âge de 5 ans, faute d'une bonne alimentation et de médicaments, et les experts de l'UNICEF (Nations unies pour l'enfance) avancent le chiffre total de 250 millions d'enfants exploités, un chiffre effarant. L'immense majorité de ses enfants vivent en Asie (l'Inde à elle seule en compte 50 millions) , l'Afrique en dénombre davantage encore, en proportion, puisque 1 enfant sur 3 y travaille, contre 1 sur 4 en Asie et 1 sur 5 en Amérique latine.
Dans la plupart des activités effectuées par les enfants, les risques d'une détérioration rapide de leur santé sont important. L'utilisation de produits chimiques dans le cas des industries de la chaussure, de l'orfèvrerie et du textile mais aussi dans l'agriculture intoxiquent l'organisme fragile des enfants. Dans l'industrie du tapis ou du tissage, les enfants sont entassés dans des lieux sombres et pollués de poussières de laine. Ils abîment leurs yeux et leurs poumons. Les enfants chiffonniers sont souvent atteint de maladie de peau. Ils risquent de se couper et de contracter le tétanos. les enfants qui travaillent dans la construction ont des troubles de croissance et des déformations en raison du port de charges trop lourdes. Les enfants qui travaillent dans les carrières et les mines sont exposés à la silicose. Les enfants qui se prostituent sont de plus en plus fréquemment atteints par le SIDA.
Pour la plupart d'entre eux ils sont condamnés à l'analphabétisme à vie car ils ne vont pas à l'école. Isolés, souvent privés de leur famille, ils souffrent de carences affectives dont ils risquent de garder des séquelles à vie.Les enfants travailleurs ( de 5 à 14 ans) vivent donc dans des conditions déplorables et sont l'objet d'abus de toutes sortes.
Obligés de travailler pour survivre et aider leurs familles, beaucoup d'entre eux ne fréquentent plus ou peu l'école.
Devenus adultes, s'ils survivent à la faim, à la soif, aux travaux dangereux et mal payés, à la prostitution, au travail domestique transformé en esclavage, ils seront analphabètes ou illettrés...une réalité inacceptable, car elle les situe à jamais dans une position d'inégalité.
Nous devons prendre conscience de la nécessité d’une éducation pour tous et agir, en gardant sans cesse en mémoire cette phrase de Gandhi “la pauvreté est la plus grande source de pollution”
Comment agir?
Faire la charité, n’est pas la solution et nous devons donc trouver des solutions de durabilité. Le parrainage de classes solidaires est l’une de ses solutions.
Aide et Action propose aux écoliers d’Europe de se mobiliser autour d’un projet qui contribuera à améliorer l’environnement scolaire des enfants au Togo, au Bénin ou au Sénégal.
A travers 3 correspondances, dans le cadre d'une année scolaire, ce parrainage permet aux enfants d’ici (du primaire, du collège) et de là-bas, d’échanger et de « prendre conscience des autres et des différences."Cette année encore nous parrainons 3 classes, ce qui nécessite de l’argent, non seulement pour l’inscription au parrainage, mais aussi pour l’envoie de matériel scolaire de première urgence.
Nous devons donc nous mobiliser et trouver des solutions.
La tombola est en route et nous devons tous faire l’effort nécessaire à son succès.
Des calendriers sont en cours de réalisation et il faudra trouver des volontaires pour en assurer la vente et la gestion.
Toutes vos idées sont les bienvenues sur ce blogCapi
Il y a beaucoup d’enfants dans le monde qui ne peuvent pas dire la même chose La plupart doivent travailler, d’autres mènent une vie nomade ou vivent dans un pays en guerre. Mais tous on besoin d’amour et d’attention, tous on le droit à une éducation et une vie digne, comme la tienne.
Et pourtant:Il naît à travers le monde, en moyenne, 5 enfants par seconde. Mais selon les pays, ils ne reçoivent pas tous les mêmes soins et la même éducation.Ainsi, 12 millions d'enfants meurent chaque année avant l'âge de 5 ans, faute d'une bonne alimentation et de médicaments, et les experts de l'UNICEF (Nations unies pour l'enfance) avancent le chiffre total de 250 millions d'enfants exploités, un chiffre effarant. L'immense majorité de ses enfants vivent en Asie (l'Inde à elle seule en compte 50 millions) , l'Afrique en dénombre davantage encore, en proportion, puisque 1 enfant sur 3 y travaille, contre 1 sur 4 en Asie et 1 sur 5 en Amérique latine.
Dans la plupart des activités effectuées par les enfants, les risques d'une détérioration rapide de leur santé sont important. L'utilisation de produits chimiques dans le cas des industries de la chaussure, de l'orfèvrerie et du textile mais aussi dans l'agriculture intoxiquent l'organisme fragile des enfants. Dans l'industrie du tapis ou du tissage, les enfants sont entassés dans des lieux sombres et pollués de poussières de laine. Ils abîment leurs yeux et leurs poumons. Les enfants chiffonniers sont souvent atteint de maladie de peau. Ils risquent de se couper et de contracter le tétanos. les enfants qui travaillent dans la construction ont des troubles de croissance et des déformations en raison du port de charges trop lourdes. Les enfants qui travaillent dans les carrières et les mines sont exposés à la silicose. Les enfants qui se prostituent sont de plus en plus fréquemment atteints par le SIDA.
Pour la plupart d'entre eux ils sont condamnés à l'analphabétisme à vie car ils ne vont pas à l'école. Isolés, souvent privés de leur famille, ils souffrent de carences affectives dont ils risquent de garder des séquelles à vie.Les enfants travailleurs ( de 5 à 14 ans) vivent donc dans des conditions déplorables et sont l'objet d'abus de toutes sortes.
Obligés de travailler pour survivre et aider leurs familles, beaucoup d'entre eux ne fréquentent plus ou peu l'école.
Devenus adultes, s'ils survivent à la faim, à la soif, aux travaux dangereux et mal payés, à la prostitution, au travail domestique transformé en esclavage, ils seront analphabètes ou illettrés...une réalité inacceptable, car elle les situe à jamais dans une position d'inégalité.
Nous devons prendre conscience de la nécessité d’une éducation pour tous et agir, en gardant sans cesse en mémoire cette phrase de Gandhi “la pauvreté est la plus grande source de pollution”
Comment agir?
Faire la charité, n’est pas la solution et nous devons donc trouver des solutions de durabilité. Le parrainage de classes solidaires est l’une de ses solutions.
Aide et Action propose aux écoliers d’Europe de se mobiliser autour d’un projet qui contribuera à améliorer l’environnement scolaire des enfants au Togo, au Bénin ou au Sénégal.
A travers 3 correspondances, dans le cadre d'une année scolaire, ce parrainage permet aux enfants d’ici (du primaire, du collège) et de là-bas, d’échanger et de « prendre conscience des autres et des différences."Cette année encore nous parrainons 3 classes, ce qui nécessite de l’argent, non seulement pour l’inscription au parrainage, mais aussi pour l’envoie de matériel scolaire de première urgence.
Nous devons donc nous mobiliser et trouver des solutions.
La tombola est en route et nous devons tous faire l’effort nécessaire à son succès.
Des calendriers sont en cours de réalisation et il faudra trouver des volontaires pour en assurer la vente et la gestion.
Toutes vos idées sont les bienvenues sur ce blogCapi
jeudi 3 janvier 2008
Des petits gestes faciles, mais efficaces.
La solidarité au quotidien, c’est possible, et nombreuses sont les actions que nous pouvons mener au sein d’un établissement scolaire. Toutes ne sont pas d’envergure comme l’organisation d’une course contre la faim dans le monde, ou la réalisation et la vente d’un calendrier, mais restez convaincus que chacune de vos actions est une goutte d’eau précieuse qui viendra alimenter cet élan de solidarité.
Le café du commerce équitable.
Alors élèves de 5eme, dans le cadre des I.D.D (2005), nous nous sommes penchées sur l’utilisation de café équitable dans le distributeur de boissons de la salle des professeurs.
Un exposé sur le fonctionnement et les avantages du commerce équitable suivi d’une enquête auprès des professeurs afin de savoir s’ils accepteraient de payer un peu plus cher leur tasse de café, nous ont encouragé à poursuivre notre projet.
Avec l’aide de notre professeur, nous avons pris rendez-vous avec le responsable commercial de la société de distribution.
C’était la première fois qu’un telle demande lui était faite, mais il adhéra rapidement à notre projet, voyant là la possibilité d’ajouter un nouveau produit à son catalogue.
Lors d’un second rendez-vous, il vint avec un projet chiffré, nous annonçant une légère augmentation de la tasse de café, ce que nous savions déjà, et nous montrant toutes les courbes de consommation des 2 années précédentes.
Une étude rapide de ces courbes nous permit de constater que 12.000 gobelets plastique étaient utilisés annuellement.
D’où une seconde demande de notre part : serait-il possible de supprimer les gobelets jetables et les remplacer par des tasses individuelles que les professeurs fourniraient. Il fallait consulter un responsable technique.
Lors du troisième rendez-vous, il nous confirma que par un simple modification du distributeur, il était en effet possible d’installer un option avec ou sans gobelet, ce qui permettrait en outre de réduire légèrement le coût du café.
Avec tous ces éléments en main, il ne nous restait plus qu’à présenter notre projet au Principal de notre lycée qui nous félicita pour notre initiative et nous donna son accord.
Deux jours plus tard, le café du commerce équitable faisait son entrée au Lycée français de Bilbao. 5 centimes d’augmentation, mais un prix bloqué sur 2 ans et surtout la satisfaction d’avoir mené à bien notre projet.
Voilà une idée facile à réaliser dans tous les établissements scolaires…et ces petits gestes, répétés 100 fois, mille fois peuvent contribuer à améliorer le quotidien de milliers d’agriculteurs du Sud.
Ana Barbier, Ane Fernandez
Récupération de cartouches d’encre :
Des constituants à risques pour l’environnement
Les cartouches d'encre usagées et les téléphones mobiles inutilisés représentent plusieurs dizaines de milliers de tonnes de déchets rien qu'en Europe. Ils comportent des produits polluants que l'environnement ne peut absorber sans risque. ( résidus d'encre, plastique non biodégradable, oxyde de fer, aluminium, plomb, cadmium, mercure, chrome, l'arsenic, ...)
En orientant ces produits vers les meilleures filières de recyclage, on améliore nettement et facilement l'impact sur l'écologie.
Des fonds pour nos projets pédagogiques.
Les cartouches vides et les téléphones inutilisés sont collectés et vendus à une entreprise de récupération avec laquelle nous avons passé un contrat, ce qui rapporte à notre établissement des fonds qui nous permettent de financer une partie de nos projets solidaires
Un container spécial a été construit par les élèves, et de temps à autre, nous rappelons à tous l’importance de cette opération.
Nous récupérons aussi les piles et les CDRoms, mais même si ces derniers sont efficacement recyclés, nous cherchons toujours une solution pour récupérer quelques euros qui viendront s’ajouter à notre fond de solidarité.(si vous connaissez une filière !!)
Ana Beotegui
Le café du commerce équitable.
Alors élèves de 5eme, dans le cadre des I.D.D (2005), nous nous sommes penchées sur l’utilisation de café équitable dans le distributeur de boissons de la salle des professeurs.
Un exposé sur le fonctionnement et les avantages du commerce équitable suivi d’une enquête auprès des professeurs afin de savoir s’ils accepteraient de payer un peu plus cher leur tasse de café, nous ont encouragé à poursuivre notre projet.
Avec l’aide de notre professeur, nous avons pris rendez-vous avec le responsable commercial de la société de distribution.
C’était la première fois qu’un telle demande lui était faite, mais il adhéra rapidement à notre projet, voyant là la possibilité d’ajouter un nouveau produit à son catalogue.
Lors d’un second rendez-vous, il vint avec un projet chiffré, nous annonçant une légère augmentation de la tasse de café, ce que nous savions déjà, et nous montrant toutes les courbes de consommation des 2 années précédentes.
Une étude rapide de ces courbes nous permit de constater que 12.000 gobelets plastique étaient utilisés annuellement.
D’où une seconde demande de notre part : serait-il possible de supprimer les gobelets jetables et les remplacer par des tasses individuelles que les professeurs fourniraient. Il fallait consulter un responsable technique.
Lors du troisième rendez-vous, il nous confirma que par un simple modification du distributeur, il était en effet possible d’installer un option avec ou sans gobelet, ce qui permettrait en outre de réduire légèrement le coût du café.
Avec tous ces éléments en main, il ne nous restait plus qu’à présenter notre projet au Principal de notre lycée qui nous félicita pour notre initiative et nous donna son accord.
Deux jours plus tard, le café du commerce équitable faisait son entrée au Lycée français de Bilbao. 5 centimes d’augmentation, mais un prix bloqué sur 2 ans et surtout la satisfaction d’avoir mené à bien notre projet.
Voilà une idée facile à réaliser dans tous les établissements scolaires…et ces petits gestes, répétés 100 fois, mille fois peuvent contribuer à améliorer le quotidien de milliers d’agriculteurs du Sud.
Ana Barbier, Ane Fernandez
Récupération de cartouches d’encre :
Des constituants à risques pour l’environnement
Les cartouches d'encre usagées et les téléphones mobiles inutilisés représentent plusieurs dizaines de milliers de tonnes de déchets rien qu'en Europe. Ils comportent des produits polluants que l'environnement ne peut absorber sans risque. ( résidus d'encre, plastique non biodégradable, oxyde de fer, aluminium, plomb, cadmium, mercure, chrome, l'arsenic, ...)
En orientant ces produits vers les meilleures filières de recyclage, on améliore nettement et facilement l'impact sur l'écologie.
Des fonds pour nos projets pédagogiques.
Les cartouches vides et les téléphones inutilisés sont collectés et vendus à une entreprise de récupération avec laquelle nous avons passé un contrat, ce qui rapporte à notre établissement des fonds qui nous permettent de financer une partie de nos projets solidaires
Un container spécial a été construit par les élèves, et de temps à autre, nous rappelons à tous l’importance de cette opération.
Nous récupérons aussi les piles et les CDRoms, mais même si ces derniers sont efficacement recyclés, nous cherchons toujours une solution pour récupérer quelques euros qui viendront s’ajouter à notre fond de solidarité.(si vous connaissez une filière !!)
Ana Beotegui
En achetant ici, ils mangent là bas.
Le fonctionnement du commerce international.
Les petits producteurs cultivent la terre, fournissent le travail et la main-d'œuvre bon marché, récoltent les produits et effectuent parfois même une première transformation, alors que les pays importateurs accaparent, via les multinationales et avec un immense profit, le fruit de ce labeur. Ce commerce inégal oblige les pays du Sud à recourir à l'aide internationale et à l'emprunt pour subvenir aux besoins de base de leur population.
Ce cercle vicieux crée une dépendance des pays producteurs face aux pays consommateurs, un rapport de force qui ne permet pas, à court ou à long terme, le développement durable des communautés du Sud.
Le fonctionnement du commerce équitable
Le commerce équitable vise à équilibrer les échanges commerciaux entre les petits producteurs du Sud et les consommateurs du Nord. Pourquoi ? Parce que ces échanges s'effectuent au désavantage des petits producteurs de matières premières.
Pour qu'un produit soit considéré du "Commerce juste", il doit être produit dans des conditions sociales et de travail dignes, être payé à un prix qui permet la permanence d'un projet de production concret et éliminer les intermédiaires de la distribution. Dans le processus de fabrication n'existent ni l'exploitation, ni la main d'œuvre infantile, ni la discrimination raciale, de sexe ou autre.
Les producteurs vendent à des coopératives. Il y a un minimum garanti. Même quand le marché de la bourse s'effondre, le producteur gagne toujours la même chose.
La coopérative redistribue de l'argent pour construire des écoles et des centres médicaux.
Ici le budget publicitaire est quasi inexistant (de toute façon la publicité est aux mains des pays riches) et de ce fait trop peu de gens connaissent l'existence du commerce équitable
Bien sûr le prix de vente est un peu plus élevé, mais en achetant des produits du commerce équitable nous collaborons réellement à aider et favoriser un échange plus juste entre le Sud et le Nord.
Ana Barbier
Les petits producteurs cultivent la terre, fournissent le travail et la main-d'œuvre bon marché, récoltent les produits et effectuent parfois même une première transformation, alors que les pays importateurs accaparent, via les multinationales et avec un immense profit, le fruit de ce labeur. Ce commerce inégal oblige les pays du Sud à recourir à l'aide internationale et à l'emprunt pour subvenir aux besoins de base de leur population.
Ce cercle vicieux crée une dépendance des pays producteurs face aux pays consommateurs, un rapport de force qui ne permet pas, à court ou à long terme, le développement durable des communautés du Sud.
Le fonctionnement du commerce équitable
Le commerce équitable vise à équilibrer les échanges commerciaux entre les petits producteurs du Sud et les consommateurs du Nord. Pourquoi ? Parce que ces échanges s'effectuent au désavantage des petits producteurs de matières premières.
Pour qu'un produit soit considéré du "Commerce juste", il doit être produit dans des conditions sociales et de travail dignes, être payé à un prix qui permet la permanence d'un projet de production concret et éliminer les intermédiaires de la distribution. Dans le processus de fabrication n'existent ni l'exploitation, ni la main d'œuvre infantile, ni la discrimination raciale, de sexe ou autre.
Les producteurs vendent à des coopératives. Il y a un minimum garanti. Même quand le marché de la bourse s'effondre, le producteur gagne toujours la même chose.
La coopérative redistribue de l'argent pour construire des écoles et des centres médicaux.
Ici le budget publicitaire est quasi inexistant (de toute façon la publicité est aux mains des pays riches) et de ce fait trop peu de gens connaissent l'existence du commerce équitable
Bien sûr le prix de vente est un peu plus élevé, mais en achetant des produits du commerce équitable nous collaborons réellement à aider et favoriser un échange plus juste entre le Sud et le Nord.
Ana Barbier
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